Working Paper - UNIVERSALISME ET PARADOXE DÉMOCRATIQUE
TABLE DES MATIÈRES
Working Paper - L'EUROPE AU POINT D'ÉQUILIBRE
TABLE DES MATIÈRES
Working Paper - L'EUROPE À LA QUÊTE D'UN ORDRE INTERNATIONAL
Prèmisses et constats
Après une longue période de réforme des traités et de rationalisation d'une activité législative dispersée, le temps du débat stratégique s'inscrit désormais à l'ordre du jour de la politique internationale de l'Union.
L'UE doit se mettre à l'heure de la politique globale et de ses enjeux.
Working Paper - « GUERRE D'HISTOIRES » ET MODERNITÉ.
Working Paper - PAIX ET GUERRE DANS LA DIPLOMATIE CHINOISE
Conformément à la philosophie du « Livre des Mutations » et de l’idée taoïste que l’intelligence politique doit être une intelligence rusée, afin d’épouser les mutations, de prévoir à long terme, de renverser les positions et de permuter les rôles, la Chine, d’après le Ministre des Affaires Étrangères, Li Zao Xing se prépare-t-elle à atteindre des « ambitions démesurées grâce à une politique extérieure mesurée » ?
Working Paper - L'AFGHANISTAN ET LE DÉBAT STRATÉGIQUE SUR L'ENGAGEMENT DE LA COALITION
- Le Leadership américain et la situation sur le terrain
- Sens politique et objectifs militaires
- Multilatéralisme et superposition des buts de guerre
- Les termes de la clarification politique
- Une guerre aux légitimités multiples
- Incertitudes américaines sur la nature du conflit
- Guerres d'insurrection d'hier et d'aujourd'hui : le débat stratégique
- A la recherche d'un « centre de gravité » de l'action
- Guerres réelles et guerres médiatiques
- « Gagner les cœurs et les esprits ». Un axiome douteux
- Le temps et l'espace en stratégie et en diplomatie
- Le paradoxe de « sortie de crise » - dimension régionale et Realpolitik
- Une interprétation Thucydéenne de « l'issue de crise » : Les intérêts nationaux, la « Balance of Threat » et le « Power balancing »
- L'OTAN et le nouveau concept stratégique
- Vers un nouveau « Rimland » ?
Working Paper - L’EUROPE, BART DE WEVER ET LA GÉOPOLITIQUE
Comme tous les observateurs l’ont remarqué, mais peu commenté, « l’informateur » nommé par le Roi, avant l’actuel « pré-formateur », a reçu les Chefs des deux principaux exécutifs européens en les personnes des Présidents Barroso et Van Rompuy. L’on se doute, que cette démarche inhabituelle en pareil cas et qui sort apparemment du mandat confié par le Roi à M. De Wever, ne pouvait avoir pour objet une discussion de salon sur l’Union Européenne et la présidence belge qui n’est en rien l’affaire de M. De Wever, tant qu’il n’est pas aux affaires.
L’analyste ne peut dès lors que conjecturer, mais il ne faut pas être grand clerc pour penser que l’avenir de l'État-Nation belge a dû être au centre de ces discussions, et très probablement le sort de la Région de Bruxelles-Capitale, dans l’hypothèse de l’accession du proto-État (entendez la Région flamande) au statut d'État souverain, objectif ultime de M. De Wever, que ce soit par une proclamation unilatérale ou un quelconque acquiescement des autres parties sur « l’évaporation de la Belgique ».